Dictée du 21 fév. 25
Acronyme de Google, Apple, Facebook (aujourd’hui Meta) et Amazon, auquel est souvent adjoint Microsoft, les GAFA(M), entreprises stars de la Silicon Valley californienne, ont envahi notre quotidien. Elles ont même fait des petits avec les NATU pour Netflix, Airbnb, Tesla et Uber. Ces entreprises ont su renouveler au XXIe siècle le mythe américain des chercheurs d’or ou de pétrole devenus milliardaires en quelques coups de pioche.
Ces start-ups parfois créées dans un garage sont ainsi devenues les plus grandes capitalisations boursières mondiales, et leurs patrons, des références iconiques de l’entrepreneur à succès.
Pourtant, elles sont de plus en plus décriées pour leur mainmise tentaculaire sur l’économie mondiale et leur pratique de corsaire fiscal. Elles menaceraient même la souveraineté des États.
Il s’agit d’entreprises qui ont parfois à peine 20 ans (Facebook a été créé en 2004 et Google en 1998) et pourtant la capitalisation de chacune d’elles dépasse les 1 000 milliards de dollars. Pour donner un ordre de grandeur c’est l’équivalent du PIB d’un pays comme les Pays-Bas, qui émarge tout de même à la 17e place du classement des pays les plus riches du monde. (187 mots)
À eux 5, les GAFAM sont davantage valorisés que le montant du PIB du Japon et de l’Allemagne réunis. (205 mots)
D’après la finance pour tous : https://www.lafinancepourtous.com/decryptages/finance-et-societe/nouvelles-economies/gafa-gafam-ou-natu-les-nouveaux-maitres-du-monde/